Alors que le Coronvirus reprend de la virulence avec l'automne, le gouvernement, l'Agence Nationale de Santé et du Médicament impose un re-confinement, interdit à nouveau l'usage de l'hydroxychloroquine pour traiter les patients et promeut le Remdesivir, coûteux, inefficace contre la maladie et si toxique pour le rein qu'environ 20% des malades traités souffriront de conséquences terribles allant jusqu'à la dialyse...
Jean 15:20-21
20 Souvenez-vous de la parole que je vous ai dite: Le serviteur n'est pas plus grand que son maître. S'ils m'ont persécuté, ils vous persécuteront aussi; s'ils ont gardé ma parole, ils garderont aussi la vôtre. 21 Mais ils vous feront toutes ces choses à cause de mon nom, parce qu'ils ne connaissent pas celui qui m'a envoyé.…
Actualités : attaque surprise de l’Iran, est-ce plausible ?
«Tout au long de l'histoire du monde, chaque période troublée a souvent fini en affrontement terrible. Coronavirus, crise économique, élections américaines .....»
Rabbin Rav Ron Chaya
En Australie, le gouvernement ne vaut pas mieux que le nôtre, mais le député Craig Kelly, membre du parlement australien a récemment déclaré fin septembre 2020 que: "les autorités doivent lever leurs interdictions, sinon ils sont impliqués dans des crimes contre l'humanité et doivent être traduits en justice à la Cour Pénale Internationale de La Haye". Car c'est bien de ça qu'il s'agit, un crime contre l'humanité est en train de se dérouler sous nos yeux, et en France aucun député ou sénateur n'ose appeler un chat, un chat! Une telle procédure a peu de chance d'aboutir, ni contre le gouvernement australien, ni contre le gouvernement français, car c'est peu dire de la mafia planétaire qui réussit à interdire de se soigner, à la moitié de la Terre, qu'elle a le bras long... N'empêche, au point où nous en sommes, la simple citation à comparaître des assassins, devant cette cour, serait déjà une petite victoire du Droit face aux premiers tyrans du XXIème siècle, complices de la plus vaste machination de tous les temps.
Il écrit : « Quant à notre expérience, qui est vérifiable et vérifiée par le Ministère de la Santé, par l’ARS, elle montre chez les patients traités une mortalité de 0,4 %, ce qui est une des plus basses jamais vue au monde dans le traitement de cette maladie, et nous avons pu nous mettre en rapport avec les services d’hospitalisation à domicile dans les EHPAD, et mettre en évidence que le traitement épargnait la moitié des morts dans cette situation. (…) L’interdiction d’usage dans les EHPAD, et en revanche la libération de la prescription de Rivotril pour euthanasie, représente une question qui sur le plan de l’éthique devra probablement être instruite ». Si ces données étaient fausses, nul doute que Didier Raoult serait déjà jugé coupable de fraude grave. A défaut, ce sont les responsables de l’interdiction de prescrire de l’Hydroxychloroquine qui doivent être jugés.
Craig Kelly, membre du parlement australien, a déclaré le dimanche 27 septembre 2020 sur SkyNews que le refus de traiter le Covid-19 à l’Hydroxychloroquine violait le serment d’Hippocrate et que ceux qui continuent à l’interdire sont « impliqués dans des crimes contre l’humanité » et doivent « être traduits en justice pénale à La Haye ». C’est ce que rapporte FranceSoir dans cet article du 27 septembre 2020.
Enfin, dans son entretien du 9 septembre 2020 pour Plantètes360, la généticienne Alexandra Henrion-Caude questionnait : « Certains collègues attaquent Didier Raoult, très personnellement. Pourquoi est-ce qu’on n’a pas fait ce foin sur Merah, l’auteur du Lancet, qui a scientifiquement planifié la mort de patients qui n’auraient pas dû mourir (en administrant des doses d’hydroxychloroquine déraisonnables aux patients) ? (…) Alors, au lieu de fustiger Didier Raoult dont les résultats de l’études sont là, qui montrent que finalement, il a plutôt aidé et sauvé des vies, plutôt que précipiter la mort de patients qui n’auraient pas dû mourir, on ferait mieux de se préoccuper du manque de déontologie de certaines études, et de certains comportements de scientifiques ».
Chaque année, en décembre, "The Economist", le magazine économique de référence appartenant à la famille Rothschild donne à décrypter, sa vision du monde pour la nouvelle année. Dans un premier temps, c'est une sorte de jeu que de deviner ces prédictions, ensuite, en cours d'année, on a (ou pas) la révélation!
Parfois, c'est simple; la cigogne livrant un bébé emballé et badgé avec un code barre, annonce la légalisation de la Gestation Pour Autrui, que le Parlement est en train de valider avec un peu de retard sur les prophéties mais parfois c'est plus difficile...
En décembre, 2018, avec un an d'avance, la Chine était à la Une du magazine avec son animal emblématique; le panda. On pouvait penser que c'était l'émergence de cette nouvelle puissance économique qui était soulignée, mais qu'est-ce qu'un pangolin pouvait bien faire là ? Un an plus tard, on apprenait qu'une pandémie à Corona virus venant de Chine aurait été transmise à l'homme par cette bestiole !
Dans l'enquête concernant une possible intention, voire préméditation dans la crise sanitaire, économique, totalitaire, mondiale que nous traversons, et après avoir lu le texte d'Alain Soral dont les révélations sont le fruit de l'analyse des renseignements dont il dispose; on peut s'intéresser à ses sources...
Dans sa rubrique du magazine L’Express du 3 mai 2009, Jacques Attali dévoile quelques fantasmes intimes du monde oligarchique. En bref: une bonne petite pandémie pourrait précipiter nos dirigeants à accepter la mise en place d’un gouvernement mondial !
Pour Attali, « L’Histoire nous apprend que l’humanité n’évolue significativement que lorsqu’elle a vraiment peur (..) La pandémie qui commence pourrait déclencher une de ces peurs structurantes ». Là, il parlait de la crise financière de 2008, et de la crise sanitaire du H1N1 de 2009. Note: les crises économiques et sanitaires récentes vont toujours ensemble comme si elles obéissaient au même contrôle!
« Et, même si, comme il faut évidemment l’espérer, cette crise n’est pas très grave, il ne faudra pas oublier, comme pour la crise économique, d’en tirer les leçons, afin qu’avant la prochaine - inévitable - on mette en place des mécanismes de prévention et de contrôle, ainsi que des processus logistiques de distribution équitable des médicaments et de vaccins. On devra, pour cela, mettre en place une police mondiale, un stockage mondial et donc une fiscalité mondiale. On en viendra alors, beaucoup plus vite que ne l’aurait permis la seule raison économique, à mettre en place les bases d’un véritable gouvernement mondial. »
Pourquoi, le Président Trump est-il si vilipendé, dénigré, méprisé par quasiment tous les médias alors qu'il est le premier président des Etats-Unis qui n'aura déclaré aucune guerre durant son mandat, qu'en deux ans (avant le Covid), il a réduit le chômage à son plus bas niveau historique depuis 50 ans, qu'il engagé une lutte sans merci contre les réseaux pédocriminels; Epstein (suicidé), Ghislaine Maxwell (en prison), Clinton ( ) ,...?
Il y a un an, qui aurait pu croire que ce qu'écrivait et annonçait A**** S**** en 2009 (* lire un extrait ci-dessous) dans ses "Chroniques d'avant guerre", pourrait se réaliser... Pourtant, nous y sommes ; Soral avait raison !
...et la "plandémie" est bien entretenue ; la prorogation du régime transitoire de sortie de "l'état d'urgence sanitaire" vient d’être votée discrètement dans une nuit d'octobre 2020, par 26 députés (17 contre et 3 abstentions soit 46 présents sur 577). Certains pays, prennent même de l'avance sur nous comme le Québec... Cauchemardesque.
(*) Extrait des pages 96 et 97 de "Chroniques d'avant guerre", un livre paru en 2012 regroupant des articles dont voici un extrait, initialement publié en 2009 dans le quinzomadaire "Flash". Ces révélations d’une précision sidérante ont valu à Alain Soral d’être désigné comme l’ennemi public numéro 1 par ceux qu’il dénonçait comme les principaux responsables de la crise de 2008 et dont il risquait de compromettre le plan de sortie. Pour couper court à cette double et intolérable menace, Soral a été rendu invisible, banni des médias et rendu infréquentable, au motif de son anti-sémitisme soi-disant attesté par le fait qu’il ose incriminer la Banque.
« On peut penser que le pouvoir bancaire mondial, ne voulant pas réformer un système dont il tire sa richesse et son pouvoir, mais qu'il sait générer déséquilibres et inégalités accrues, sait aussi n'avoir d'autres choix, s'il veut continuer à mener la danse et conserver sa tête, que d'aller vers la dictature. Vers ce gouvernement mondial pour lequel travaille Attali...
STASI...
Seulement, comment le justifier quand on prétend se battre contre le totalitarisme, pour la démocratie de marché, les fameux "droits de l'homme" et la liberté ? Comment l'imposer en douce à ses cons de consommateurs ? Par quelle justification indiscutable donc au-delà delà du politique- faire accepter leur soumission aux citoyens déboussolés en cette période de crise économique et sociale aggravée ? C’est là, sans doute, que nos petits génies des think tanks américains ont dû bien se creuser les méninges…
Réponse : mieux encore que la « sécurité », inaugurée par la lutte contre le terrorisme et la mortalité routière : la médecine et l’écologie... En effet, ni les virus ni la pollution n’ont de frontières, et il faudrait vraiment être un salaud, un assassin et un irresponsable, pour s’opposer à des mesures qui n’ont pour but que de sauver la planète et les populations…
Vous me suivez ?
En plus de générer la peur, (et la peur est un facteur d’obéissance), cette pseudo-pandémie médiatico-médicale, créée de toutes pièces par cette même oligarchie mondialiste qui tient la banque et qui vend les vaccins !,va justifier, en pleine période de récession, un blocage de l’économie : les malades ne pouvant ni travailler ni sortir pour consommer… En pleine période de luttes sociales, une injonction à la fraternité civique : la lutte des classes passant, face au virus, après la solidarité des organismes menacés… Sans oublier toute une série de mesures de santé publique : quarantaines, confinement… qui sont autant de mesures de police : interdiction de réunion, de circulation, assurées s’il le faut par l’armée !
La crise à cause de la grippe (juste au moment où l’économie allait redémarrer, c’est pas de chance!), c’est moins dangereux pour la Banque que la crise à cause de la Banque, surtout en plus si c’est la Banque qui vend les vaccins ! ».
Alain Soral « Chroniques d’avant guerre » Editions Blanche – Kontre Kulture
La première vidéo empruntée au "Grenier de l'éco", présente une analyse non exhaustive du contenu du numéro 2 de "Front Populaire", une nouvelle revue lancée par Michel Onfray. On peut ainsi se faire une idée de la richesse des analyses qu'offre ce support papier, certes cher, mais qui vaut son prix si c'est le gage de son indépendance.
Ce nouveau magazine quadrimestriel "des souverainistes de droite, de gauche, d'ailleurs et de nulle part", se définit ainsi: "Une revue de réflexions et de débat d'idées pour rebâtir le monde et penser les jours d'après.
Le numéro en vente actuellement, dissèque le vrai pouvoir qui nous gouverne, ici et presque partout; et que l'on désigne prudemment par l'expression "état profond" pour échapper à d'éventuelles poursuites...
La deuxième vidéo, La stratégie d'hystérisation de l’État profond - Poléco n°266 - sur TVLibertés, donne à voir et à entendre une des contributrices de "Front Populaire", Valérie Bugault, docteur en économie. Auteure de plusieurs livres dans son domaine d'expertise, elle révèle le lien entre l'État profond et les banques et comment ce dispositif a permis à ces dernières de parvenir au stade actuel de domination de l'humanité (presque) tout entière.
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