Ukraine, nazisme, crimes de guerre, deux poids, deux mesures (la suite)

Un ex-militaire français de retour d'une mission humanitaire en Ukraine, témoigne

Le document vidéo ci-dessous est à voir absolument; l'invité d'André Bercoff est un martien dans l'univers médiatique. Il présente le livre qu'il vient de publier et qui constitue un formidable message d'espoir pour tous les accidentés, victimes comme lui, d'atteintes du canal médulaire (paralysés) et rien que sa présence sur le plateau est déjà extraordinaire. Mais redevenu autonome, cet ancien militaire, miraculé ne s'est pas installé devant sa télévision; il a fondé une association pour promouvoir les soins dont il a bénéficié (neurostimulateurs médullaires implantables) et a même accepté de participer à une mission humanitaire en Ukraine. Là encore, il fait preuve d'un courage phénoménal car, bien rares sont ceux qui dans la même situation oseraient dire ce qu'ils ont vu et quand bien même, aucune chaîne ne les inviterait. Son témoignage est donc triplement extraordinaire; MERCI Monsieur Bercoff! Adrien Bocquet raconte ce qu'il a vu, de ses yeux vu, concernant le sort des prisonniers de guerre russes en Ukraine, mutilés à vie par les nazis d'AZOV qui leur tirent une balle dans un genou, s'ls sont soldats, et dans la tête s'ils sont officiers, dès leur descente du camion...

Vidéo youtube: "J’ai vu des crimes abominables commis par Azov." De retour d'Ukraine, Adrien Bocquet raconte

Vidéo Odysee: "J’ai vu des crimes abominables commis par Azov." De retour d'Ukraine, Adrien Bocquet raconte

En livrant des armes et du renseignement à cet état criminel, Biden, Von de Leyen, Macron et autres gouvernements de la quarantaine de pays de l'OTAN, soutiennent et couvrent toutes ces crims. Même si des exactions ont probablement pu se produire côté russe, ce pays se sait dans le collimateur des autoproclamés droitsdelhommistes, et se doit plus encore que tout autre, de respecter les règles de la guerre. A défaut de témoignages ou de documents crédibles, pour soutenir de telles allégations contre la Russie, Macron a envoyé l'IRCGN de la gendarmerie nationale avec pour mission de déterrer et trouver des morts, dont on puisse faire croire qu'ils ont été victimes de crimes de guerre commis par les russes.