Et maintenant, dès 18 ans, c'est possible de se faire piquer !

Ce document, mis en ligne fin 2020, s'apparente à un super cour de Sciences, ambitieux et exigeant pour des auditeurs curieux et désireux d'en savoir plus sur la vac6nation au XXIème siècle.

Se faire vac6ner à 18 ans, à 60 ans ou jamais? Quel que soit le traitement d'une pathologie, le rapport bénéfice / risques, est déterminant pour choisir la conduite à tenir. Ce rapport s'évalue différemment selon le niveau de la menace, l'âge de la personne et selon son état de santé. Poser un "Stent" à une personne arrivant aux urgences pour un infarctus, c'est une intervention risquée, mais y renoncer condamne à une mort certaine... Par contre, vac6iner une personne de 20 ans en bonne santé qui, si elle ne présente pas de facteur de comorbidité (diabète...), ne risque pas de mourir du Covid,  exigerait que les vaccins soient d'une sûreté absolue. S'ils pouvaient être efficaces, ça ne serait pas mal non plus, mais là, il n'y a pas tromperie sur la marchandise; il faut continuer à porter le masque, car la vac6nation n'empêche ni d'attraper la maladie, ni de la transmettre. Christian Vélot, généticien moléculaire à l'université de Paris Saclay, membre du CRIIGEN (Comité de Recherche et d'Information Indépendantes sur le Génie Génétique) nous présente les nouvelles technologies vac6nales, pour que les candidats à la vac6ination puissent se forger l'avis éclairé, formellement requis avant de recevoir l'un des nouveaux vaccins disponibles. Dans cette vidéo, il n'est pas question des traitements dont le gouvernement ne veut pas entendre parler, malgré leur efficacité et leur bas coût. Néanmoins, la censure de plus en plus sévère de Youtube, pourrait bientôt faire disparaître ce document, alors voici le lien de secours sur Odysee: COVID-19 : Les Technologies Vaccinales à la loupe https://odysee.com/@GEPETO:9/d9d327:8

Les vax1 (vaccins)  actuellement disponibles, ne bénéficient que d'une Autorisation de Mise sur le Marché conditionnelle, c'est à dire qu'ils sont en cours de tests... sur la population. En fonction des différentes technologies permettant de les produire ces vax1 sont capables de provoquer une kyrielle d'effets indésirables allant du syndrome grippal banal, à la mort. Il ne s'agit pas d'une opinion, mais de données révélées semaine après semaine, par l'Agence Nationale de Sécurité et du Médicament. Chacun peut le vérifier en suivant le lien ANSM ci-dessus qui recommande la plus grande vigilance: "Nous recommandons aux personnes vaccinées de consulter immédiatement un médecin en cas  de symptômes persistants quelques jours après la vaccination (au delà de 3 jours) tels que: un essoufflement, une douleur thoracique, un gonflement des jambes, une douleur abdominale, des maux de têtes sévères, une vision floue, ou des ecchymoses à distance du site d’injection". Encore ne s'agit-il là que des réactions à court terme, car les scandales récents concernant le Pandemrix,  fameux vax1 contre la grippe  H1N1 en 2009 dont les effets délétères (narcolepsie) se sont manifestés au bout de deux ans, ou le Dengvaxia contre la dengue qui a tué des centaines d'enfants en particulier aux Philippines, devraient inciter à respecter les protocoles d'expérimentation. Les effets indésirables rapportés sont analysés chaque semaine. Voici à titre d'exemples quelques données de la semaine du 5 au 11 mars 2021, publiées sur le site de l'ANSM et fournies par les Centres Régionaux de PharmacoVigilance (CRPV), sous réserve de fautes de frappe ou de copier/coller:

Avec le vaccin Comirnaty de Pfizer-BioNTech, les données validées pour la semaine du 5 au 11 mars 2021 font état de 9841 cas d’effets indésirables qui ont été analysés par les CRPV rapporteurs (Bordeaux et Marseille). La majorité des effets indésirables sont attendus et non graves, pourtant, début mai, après avoir évoqué des cas de myocardite l'ANSM et le Journal International de Médecine, font état dans leur dernier point sur la surveillance des vaccins, de l'apparition de cas de pancréatite et de syndrome de Guillain-Barré (une affection rare dans laquelle le système immunitaire du patient attaque les nerfs périphériques)...

Les effets indésirables rapportés et validés pour la semaine du 5 au 11 mars 2021 avec le vaccin Moderna, 377 cas d’effets indésirables ont été analysés par les CRPV rapporteurs (Lille et Besançon). Un grand nombre de cas concerne des réactions retardées locales non graves. Quelques cas d’hypertension artérielle, d’arythmie et de zona ont été rapportés. La surveillance attentive de ces cas se poursuit. 

Les effets indésirables rapportés avec le vaccin AstraZeneca. Depuis le début de la vaccination: 4184 cas d’effets indésirables ont été analysés par les CRPV rapporteurs (Amiens et Rouen). En France, 13 cas d'évènements thromboemboliques (pour plus de 1 041 000 injections) ont été analysés au total lors du comité de suivi hebdomadaire de l’ANSM avec le réseau français des CRPV : 2 cas d’infarctus du myocarde, 1 cas de thrombus intracardiaque, 4 cas d’embolies pulmonaires, 2 cas de thromboses des sinus veineux cérébraux, 4 cas d’accidents vasculaires cérébraux ischémiques dont 1 cas associé à une coagulation intravasculaire disséminée (CIVD).  Certains de ces cas sont survenus chez des personnes sans facteur de risque.

Notes:
Le signalement et la prise en compte des effets connus est sous-évaluée car considérée comme inutile, puisqu'ils figurent déjà sur la notice! Les décès liés à la vac6nation sont sévèrement "filtrés" car il faut être en mesure de prouver le lien de cause à effets. Peu de familles dans la douleur sont en mesure de lancer de telles procédures (avocat, enquête, autopsie...). Pour le cas de cet étudiant en médecine de 26 ans, interne au CHU de Nantes, la détermination des parents a permis la reconnaissance des faits, mais cela a pris plus d'un mois... Dans ces conditions, les données sont évidemment très sous-évaluées... Info France 3 Pays de Loire.

Au 7 mai 2021, l'IHU Marseille Méditerranée communique le nombre de patients vac6nés depuis le 1er janvier, qui ont  néanmoins contracté le Covid (350) et qui ont été soignés à l'IHU. Dans ce groupe, 4% on dû être hospitalisés, soit le même ratio que pour les non-vac6nés.